Et très bientot, il sera question de centaine de millions puis,… de milliards!
A 35 ans, ce jeune cultivateur a commencé avec 100 000 F. Cfa comme capital. Investi aujourd’hui dans la culture des cacaos, pastèques, maniocs, tomates, légumes… Il réalise plus de 12 millions F. Cfa de chiffres d’affaires.
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Dans le cadre de la mise en œuvre de ses programmes de formation, le PTCI (Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire) lance un appel à candidature pour le recrutement des étudiants de la 4ème cohorte 2015-2017 du programme de Master en économie et politique agricoles. Les cours seront dispensés à l’Université de Ouaga 2, avec des approfondissements en spécialité à l’Universités de Legon à Accra au Ghana.
Conditions d’éligibilité
• Avoir la nationalité d’un des pays membres : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Centrafrique, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Tchad et Togo.
• Etre titulaire d’au moins le diplôme de Maîtrise ou d’un diplôme équivalent en économie, en économie agricole, en agroéconomie, en agronomie, ou d’un diplôme d’ingénieur-statisticien-économiste ;
• Avoir réalisé un cursus scolaire démontrant des capacités suffisantes à suivre des cours d’économie et de techniques quantitatives ;
• Les candidatures féminines et les candidatures de professionnels exerçant dans les domaines de l’agriculture, de l’environnement ou du développement rural sont vivement recommandées.
Durée de la formation et déroulement
La formation dure vingt quatre (24) mois répartis comme suit :
Huit (8) mois de cours en tronc commun au sein du campus d’accueil. Les cours en tronc commun incluent :
• Les techniques quantitatives (Statistiques, Recherche opérationnelle, Mathématique pour économistes)
• Les cours fondamentaux approfondis (Macroéconomie, Microéconomie, Econométrie)
Quatre (4) mois de cours à option et d’anglais intensif à l’université du Ghana (Legon). Les cours à option embrassent les domaines suivants :
• L’environnement et le développement durable ;
• La production agricole ;
• Les politiques agricoles ;
• Le commerce international des produits agricoles ;
• L’analyse des prix des produits agricoles ;
• Les institutions rurales ;
• La finance agricole ;
• Etc.
Douze (12 mois) de stage et de rédaction d’un mémoire.
• Pour les professionnels, le stage et la rédaction du mémoire se font prioritairement au sein de leurs institutions d’origine.
• Pour les non-professionnels, ils pourront effectuer un stage d’une durée de trois (3) mois au sein d’une institution œuvrant dans le domaine de l’agriculture, de l’environnement ou du développement rural dans un des pays membres de la CIEREA.
Composition du dossier de candidature
• Un extrait de naissance ;
• Un curriculum vitae ;
• Une copie certifiée conforme des relevés des notes obtenues durant son cursus universitaire ;
• Une copie certifiée conforme des diplômes universitaires ;
• Un projet de recherches prévues par le candidat dans le cadre du Master ;
• deux lettres de recommandation dont une au moins d’un enseignant d’université ;
• Pour les professionnels, une lettre de l’administration de tutelle autorisant l’inscription du candidat au programme au cas où une suite favorable est réservée à sa demande.
Dispositions régissant le traitement des dossiers de candidature
• Seuls les dossiers complets seront traités ;
• Tout dossier envoyé par e-mail doit être suivi d’un dossier physique envoyé par voie postale ou autre messagerie pour être pris en compte ;
• Seuls les candidats dont les dossiers ont connu une suite favorable seront contactés après la sélection ;
• Le PTCI se réserve le droit de ne répondre à aucune requête provenant d’un candidat dont le dossier de candidature ne serait pas retenu.
Dépôt des dossiers de candidature
• Le formulaire de candidature est à télécharger sur le site du PTCI, page Accueil, fenêtre Appels à candidature ;
• Les dossiers, sous plis-fermés, peuvent être directement déposés au Secrétariat de la Direction du PTCI ou envoyés à l’adresse postale du PTCI :
03 BP 7164 – Ouagadougou 03 – Burkina Faso
• La date limite de dépôt des candidatures à la Direction du PTCI est fixée au 31 juillet 2015.
Pour tout renseignement complémentaire, prière d’appeler au (00226) 25 30 14 08
ou écrire à l’adresse ptci@ptci-edu.org ou visiter le site Web: www.ptci-edu.org
Le PROCASUR Corporation en Afrique en collaboration avec le Fonds international de développement agricole (FIDA) ont collaboré avec la Farmer Field Schools Junior (FAO), le renforcement du développement de la jeunesse rurale à travers l’entreprise (TechnoServe) Mkulima Young et USTADI pour présenter la Route d’Apprentissage » ‘Idées et approches novatrices pour l’insertion des jeunes ruraux dans l’agriculture. Les progrès accomplis au Kenya » qui aura lieu au Kenya, entre le 16 et le 24 Août 2015
Date limite pour les demandes: Le 13 Juillet 2015
Grâce à un apprentissage en face-à-face, l’apprentissage Route huit journées comprend la possibilité d’apprendre directement sur le terrain et le protagoniste STI de certaines des meilleures pratiques parmi les meilleures initiatives mises en œuvre en faveur des politiques de la jeunesse transformer en actions et progrès.
L’objectif principal de la Route d’Apprentissage est de contribuer au partage des leçons et l’apprentissage au niveau national et régional en vue de renforcer les capacités techniques au sein des opérations et des partenaires du FIDA dans la région de l’Afrique sur les stratégies et approches novateurs pour engager les jeunes en milieu rural dans l’agriculture, augmenter l’emploi et réduire la pauvreté.
Pendant ce voyage unique à travers la connaissance, les participants seront pris en charge par PROCASUR et experts, dans la conception d’un « Plan d’innovation » visant à l’intégration et à adopter les meilleures pratiques dans leurs milieux respectifs et de renforcer leurs organisations et projets de performance dans la prestation de services spécifiques et les jeunes inclure effectivement les activités bénéficiant jeunes.
Un concours après la Route apprentissage sera prise les deux meilleurs plans de l’innovation avec une équité à partir de 2500 USD.
S’il vous plaît trouver ci-joint le dossier de candidature composé des documents suivants: (i) Appel à candidatures; (Ii) Formulaire de demande de la Route d’apprentissage; (Iii) sous forme de bourses d’études et (iv) une lettre d’autorisation pour l’organisme parrain.
Afin d’appliquer, il est nécessaire d’envoyer le formulaire de demande à vsauve@procasur.org / l.irungu@procasur.org avant le 13 Juillet 2015. Ceci est la date limite pour la réception des demandes et d’autres documents.
TELECHARGEZ ICI
Pour plus d’informations, vous pouvez envoyer vos questions ou contactez :
| Valentina Sauve | vsauve@procasur.org Téléphone: +254 (0) 706 046 742 |
| Loise Irungu | l.irungu@procasur.org Téléphone: +254 (0) 722 407 722 |
Nous restons à votre disposition si vous avez des questions.
Meilleures salutations
Mes lapins ont des abcès partout. Que faire ? C’est une question que m’a posée un éleveur de lapins.
La première chose à se demander c’est la cause de ces abcès. Et la deuxième chose c’est comment y remédier.
Les lapins sont des animaux très sensibles aux conditions hygiéniques de l’élevage. Lorsque l’hygiène dans les cages laisse à désirer, l’un des constats est la présence d’abcès au niveau des pattes, les mamelles, et sur tout le corps des lapins principalement les lapereaux.
Que faire donc ?
Je m’adresse à tous ceux et à toutes celles qui ont une formation agricole. Si dans le monde, l’autosuffisance alimentaire est un leitmotiv dans la plupart des discours, nous devons être conscients que nous avons du travail.
Quelle que soit notre position, en fonction, en stage, en auto emploi, ou en chômage, sachons que c’est notre responsabilité de nourrir le monde.
Nous devons effacer de notre esprit l’idée selon laquelle, ce sont les paysans qui doivent produire pour assurer l’autosuffisance alimentaire. Que ce soit par la formation, le suivi appui conseil ou par la production nous devons prendre notre responsabilité.
Dans nos pays, plus de 46% de la population sont dans l’agriculture et pourtant nous n’arrivons toujours pas à enrayer la faim. Cependant moins de 5% de la population des pays développés produisent pour tout le reste, à leur faim, et ils nous envoient le reste sous forme d’aide. Ceci mérite réflexion.
Prenons notre responsabilité !
Le Blog de Louis Agbokou 